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DRC Montrachet 2006 75cl

AOC Grand Cru | Côtes de Beaune | Bourgogne | France
CHF 9’620.90
Évaluations et Scores
96 Robert Parker
Aubert de Villaine and his team harvested their 2006 Montrachet on September 26, and it was bottled (as a single assemblage) at the end of 2007. High-toned peach, lemon oil, musk, and floral aromas mark the penetrating, ethereal nose. Smoky, peach kernel pungency weaves its way through nutty, peachy richness on the palate. Less obviously dense, rich and sappy than the extraordinary 2005, this 2006 for all of its sheer viscosity and ripeness, displays a dynamic, almost shimmering sense of fruit and mineral interplay. Intriguingly, in my initial ? November, 2007 tasting ? this effect was more pronounced from a barrel that had been rolled to disburse the lees than in one that had undergone conventional batonnage. The youthful 2006 reflects its new wood environment in a way that the 2005 ? at similar stages in its evolution ? did not. There is no lack here of the mystery that should be expected from one of the world?s most fabled and expensive wines, not just in the paradox of viscosity, richness and power combined with elegance, lift, and refinement; but also in nuances that left me groping the lexicon for animal or mineral descriptors.<br/>
96 Wine Spectator
The nose announces toast, butterscotch and citronella notes. On the palate this white is immediate and vibrant, with lime, peach and mineral flavors, both expressive and seductive. Last year, I gave the 2005 Montrachet a perfect 100-point score, and the 2006 is more open and appealing at this stage, showing less of the intense mineral character of its predecessor.--Non-blind 2006 DRC tasting (February 2009). Best from 2013 through 2025. –BS
Producteur
Domaine de la Romanée Conti
Vous voici en présence du domaine le plus emblématique de Bourgogne, sinon de France voire du monde. Fort du monopole des deux plus grands vignobles – la Romanée-Conti et La Tâche – et d’une collection généreuse de vignes au sein de Vosne-Romanée et au-delà, cette propriété a su s'imposer tout en restant discrète et même modeste. C’est Aubert de Villaine qui dirige le navire - copropriété des familles Villaine et Leroy-Roch-, depuis 1974. Mais les origines de la Romanée-Conti sont bien plus anciennes, remontant au XIIIe siècle, lorsque les premières vignes furent plantées par les moines de Saint-Vivant. La viticulture biologique a été adoptée dans les années 1980, préambule à l’introduction de la biodynamie dans les années 1990. C'est sans doute aussi le domaine le plus célèbre de la région pour la mise en œuvre (depuis toujours) de la fermentation en grappes entières. Cette technique bien établie a été écartée par Henri Jayer, mais a inspiré bien d'autres vignerons ces dernières années. Allen Meadows, sans doute l'expert et critique le plus averti au monde en matière de Bourgogne, n'a décerné une note parfaite qu’à un seul vin - le Romanée-Conti 1945.