Close
Rechercher
Filters
Évaluations et Scores
100 Robert Parker
20 Rene Gabriel
94 Wine Spectator
Although the 1947 Cheval Blanc is widely considered to be the "wine of the century" among collectors, the 1961 Latour a Pomerol also merits a share of the title. Giving points to a wine such as this makes one think of Shakespeare's reflection that "comparisons are odious." To put it mildly, this wine is "off the charts." If I had only one Bordeaux to drink, the 1961 Latour a Pomerol would have to be at the top of my list. Given its phenomenal richness and amazing precision and balance, it can bring tears to one's eyes. Still a saturated dark purple color with no signs of amber, orange, or rust, the nose offers extraordinarily rich, intense aromas of jammy plums, black currants, licorice, and truffles. Port-like, with remarkable viscosity and thickness, as well as a finish that lasts for more than a minute, this wine is in a class by itself. Even greater than the 1961 Petrus and 1961 Latour (two perfect wines), it is phenomenal. Given its youthfulness (it is the least evolved wine of the vintage), it has the potential to last for another 20-30 years. Last tasted 12/96
Producteur
Château Latour à Pomerol
Château Latour à Pomerol vient grossir les rangs des propriétés placées sous l’ombrelle de l’illustre famille JP Moueix. Même si techniquement, le domaine appartient à un organisme caritatif – la Fondation des Foyers de Charité de Châteauneuf de Galaure – ce sont les Ets Jean-Pierre Moueix qui en assurent la direction depuis plus de 40 ans. Latour à Pomerol a suivi la même trajectoire que les autres grands châteaux bordelais de la famille pour devenir l’une des références absolues de l’appellation Pomerol. Ce vignoble de 8 hectares se compose de deux parcelles : l’une, les Grandes Vignes, se trouve à proximité de l’église de Pomerol ; la deuxième est placée sur la partie occidentale du plateau de Pomerol. Ce charmant cru, à l’image de bon nombre des vins de la Rive Droite, est longtemps resté dans l’ombre, jusqu’au jour où le critique, Robert Parker, alors à ses débuts, a commencé à s’y pencher au début des années 1990. De nos jours, le Château Latour à Pomerol offre une expression plus opulente de l’appellation, incarnée par des assemblages de merlot et de cabernet franc souples, mûrs aux arômes riches de prune.